big-lebowski

Les recherches d’excuses pour ne pas aller au boulot explosent sur Google

Publié le 14 novembre 2022 à 16h44

Modifié le 16 novembre 2022 à 08h53

par Nicolas Cogoni

Qui n’a jamais été tenté, ne serait-ce qu’une fois, de rester au lit plutôt que de se rendre au bureau ? Mais voilà, le travail ce n’est pas les bancs de la fac, on ne peut pas manquer à ses obligations juste parce qu'on a la grosse flemme... sauf en cas d’excuse valable. Et justement, une étude américaine menée sur ces deux dernières années par la société américaine de placement Frank Recruitment Group indique que le nombre de recherches d’excuses pour ne pas se rendre au boulot a explosé depuis 2021. En effet, ces requêtes Google ont augmenté de 630 % entre 2018 et 2022.


Un retour en présentiel difficile ?

Ce constat, qui soulève plusieurs problématiques, survient alors que la grande majorité des salariés a dû revenir travailler en présentiel après des périodes de confinement et de télétravail. Selon Shané P. Teran, coach en bien-être et stratège en développement organisationnel de SP Consulting, les personnes qui cherchent des excuses pour ne pas se rendre au bureau ont probablement « le sentiment de ne pas avoir un superviseur ou une culture d'entreprise qui leur permette de prendre librement des congés sans être ridiculisés ou contestés ». Elle explique également que les employés ont besoin de prendre plus de congés afin de gérer les facteurs de stress et qu’un certain nombre d'entre eux « ne bénéficient pas de la grâce et de la compréhension dont elles ont besoin de la part de leurs employeurs, ce qui les incite à faire semblant et à s'échapper par tous les moyens ».

Comme vous n'avez aucune conscience professionnelle, voici les excuses qui fonctionnent le mieux selon le site Cadremploi : le décès d'un proche, la raison médicale, les problèmes de transport, la fuite d’eau et la panne de réveil. 

À VOIR AUSSI

À LIRE AUSSI
shutterstock-1696909426-1-1-

Une magnifique pleine lune rose va être observable à Toulouse ce week-end

Publié hier à 19h00

par Camille Miranda

À 2h22 du matin, pile à l’heure où tu hésites entre aller te coucher ou te refaire un dernier épisode de ta série préférée, la pleine lune d’avril pointera le bout de son nez. Rose bonbon ? Mmmmh on va dire ça. Si tu espères voir un gros chewing-gum suspendu dans le ciel, tu risques d’être un peu déçu. En réalité, elle gardera son teint habituel, avec (pour les plus attentifs) une légère teinte poudrée, mais ça reste subtil alors t’enflammes pas !

Pour l’observer correctement à Toulouse, direction la colline de Pech-David, le jardin Raymond VI ou même les bords de Garonne pour une vue dégagée et romantique à souhait. N’oublie pas une petite couverture, un thermos de thé bien chaud (ou une bière, selon ton mood). Tu n’auras plus qu’à admirer le spectacle !

Pourquoi l’appelle-t-on “lune rose” alors ?

Le nom vient tout simplement d’une fleur : le phlox rose, qui fleurit en Amérique du Nord à cette période. Bon, on est d’accord, ça sonne bien mieux de dire “pleine lune rose” que “pleine lune de la phlox”, et puis c’est aussi une manière poétique de marquer l’arrivée du printemps.

Allez, vu que ça me titille, je te fais un point astrologie : la pleine lune rose, c’est la reine des cœurs. Elle est associée à l’amour, aux connexions humaines et à l’équilibre. Cette année, elle tombe en Balance, signe de la diplomatie et de l’harmonie. L’occasion parfaite pour calmer les tensions, se recentrer sur ses relations, ou déclarer sa flamme…


À LIRE AUSSI