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Le Jellyfishbot à la conquête des mers à l’international

undefined undefined 3 août 2021 undefined 20h15

undefined undefined 4 août 2021 undefined 08h39

Estelle Flory

La start-up provençale Iadys, créatrice du Jellyfishbot, à l’intention d’accélérer son développement. Basée à Roquefort-la-Bédoule, cette entreprise en devenir est à l'origine de ce robot électrique qui collecte les déchets et les hydrocarbures à la surface de l’eau afin de la dépolluer. Après avoir fait ses débuts dans le Vieux-Port de Marseille, le robot autonome a montré ses capacités dans plusieurs ports de France puisqu’il avait été mis en place dans des ports de plaisance comme à Cassis, Ajaccio ou encore à Cherbourg. Mais aussi dans des ports de commerce et des chantiers navals.  

 

Jellyfishboat : 1,5 million d’euros pour conquérir les mers du monde

 

Iadys a levé 1,5 million d’euros qui vont permettre d’améliorer le Jellyfishbot en le rendant complètement autonome, ce qui permettra d’en mettre en même temps plusieurs en place. L’ambition de la start-up est de continuer à améliorer le robot afin qu’il soit un véritable atout pour l’entretien, la surveillance, la dépollution et la préservation des plans d’eau.

Avec cette levée de fonds, Iadys souhaite aussi développer le Jellysfishbot en Europe et à l’international. L’objectif est d’atteindre les marchés d’Europe, d’Asie du Sud-Est et du Moyen-Orient. Et il est déjà présent à Singapour, au Japon et en Norvège. Le petit robot va donc partir à l'aventure afin de rendre plus saines le plus de mers et d'océans possible.