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Hommage : les plus belles punchlines de Bernard Tapie aka « Le Boss »

Publié le 4 octobre 2021 à 14h01

Modifié le 4 octobre 2021 à 14h14

par Laura P

« J'aime plus le boulot qu'une fille dans mon plumard »

Émission de Patrick Sabatier Le jeu de la vérité (1985)

« J'aime les types qui me tiennent tête »

En 1991, au sujet de Didier Deschamps, qui avait refusé de partir au PSG alors que Tapie le poussait au départ.

« Si, au lieu de VA-OM, il y avait eu VA-Monaco, ça n'aurait pas duré une semaine »

Décembre 1994, alors qu'il quitte l'OM.

« J'ai menti, mais c'était de bonne foi »

En 1995, sur l'Affaire VA-OM

« Je n'ai pas le temps d'apprendre l'espagnol en une semaine »

En avril 2001, au moment d'expliquer le limogeage de Janvier Clemente.

« J’ai connu tous les milieux, mais je n’ai jamais vu un monde aussi dégueulasse que la politique. »

« La vie est une promesse d’aventure, souvent extraordinaire, jamais impossible. »

« Ceux qui sont absents ou restent silencieux ont toujours tort. »

« J’ai appris qu’un patron ne donne pas seulement des ordres, mais aussi, et surtout, donne un exemple. »

« Quand vous êtes dans le sens contraire du courant et que vous nagez vite, vous reculez moins que les autres. »

« Le pessimisme de l'intelligence, l'optimisme de l'action. Ce pourrait être mon devise. » 

« Le sentiment d'injustice peut donner une force incroyable à une personne. »

« La vie est une promesse d'aventure, souvent extraordinaire, jamais impossible. »

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Une femme disparaît d'Hitchcock en ciné-concert au Mucem en avril

Publié hier à 15h00

par Flora Gendrault

Saviez-vous qu'une offre variée d'événements culturels prenait vie au Mucem en parallèle de ses expositions ? Au cœur du célèbre musée, on suit des visites guidées passionnantes, on réalise des ateliers manuels en détente, et, le 11 avril, on suit un ciné-concert prodigieux en présence de l'Orchestre national Avignon-Provence. Un after du Festival international Music & Cinéma Marseille – qui a eu lieu du 25 au 29 mars et qui sera de retour au printemps prochain – mettant en lumière une perle du septième art. Le chef d'œuvre projeté ? Une femme disparaît (The Lady Vanishes, 1938) d'Alfred Hitchcock, film à suspens dont la tension, renforcée par sa musique, promet de nous faire passer par toutes les émotions. 

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Une critique habile du totalitarisme... 

Chef d'œuvre hitchcockien sorti à la veille de la Seconde guerre mondialeUne femme disparaît plonge le·la spectateur·ice au cœur d’un train traversant l’Europe centrale. L’histoire suit Iris Henderson, une jeune Anglaise sur le point de rentrer à Londres pour se marier. Lors de son voyage, elle sympathise avec une gouvernante âgée et bienveillante, Miss Froy, mais après un court sommeil, il lui est impossible de la retrouver. Miss Froy a inexplicablement disparu, et personne à bord ne semble se souvenir d’elle. Aidée par Gilbert, un musicologue excentrique, Iris se lance dans une enquête effrénée pour comprendre le mystère, dévoilant au passage un réseau d’espions et un complot politique sous-jacent.

Entre manipulation, faux-semblants et course contre la montre, ce thriller haletant distille une critique subtile du totalitarisme et de la montée du nazisme, sans jamais les nommer directement. Un regard acéré sur une époque troublée, qui trouve un écho particulier au Mucem, où l’on retrouve un lien avec les enquêtes ethnographiques menées dans les années 1930 par le musée des Arts et Traditions Populaires, l’ancêtre du lieu.


... Revisitée en musique au Mucem ! 

L'événement, soutenu par la Région Sud et le ministère de la Culture, s’inscrit dans le cadre du Festival international Music & Cinema Marseille (MCM). Pour lancer la projection, le public découvrira Le Cri, un court-métrage d’animation réalisé par les élèves de l’École des Nouvelles Images. Une expérience immersive entre musique et frissons, pour rappeler à chacun·e l'importance du cinéma, miroir et mémoire des époques. 

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Ciné-concert Une femme disparaît 
Mucem
1, esplanade du J4 – 2e
Le vendredi 11 avril 2025 à 20h 
Plus d'infos 


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