Un festival devenu culte
Né en 2016, Le Bon Air s’est imposé comme un rendez-vous incontournable des musiques électroniques. Ce n’est pas juste un festival, c’est une vibe, une communauté et une vraie réflexion sur la fête de demain : écoresponsabilité, diversité, liberté. Ancré dans son territoire, il soutient activement la scène locale et redessine chaque année ses contours pour mieux nous embarquer dans une fête plurielle, libre et totale. Depuis ses débuts, il s’engage aussi sur les questions de genres et de minorités, proposant un espace inclusif où chacun peut se retrouver.
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La Friche en mode BPM
Le Bon Air, c’est l’équilibre parfait entre ambiance rooftop et clubbing underground. En journée, direction le toit-terrasse pour des sets ensoleillés (du vendredi au dimanche), et quand la nuit tombe, cap sur les cinq scènes intérieures (les vendredi et samedi) pour plonger dans la transe. Cette année encore, plus de 80 artistes et collectifs seront de la partie, avec une belle part laissée à la scène locale qui représentera la moitié de la programmation. Le festival explore un large spectre des courants électroniques, de la techno et la UK bass aux vibes trance, hard dance, disco, pop et expérimentales.
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Une prog’ qui envoie du lourd
Côté line-up, du très sérieux avec Folamour et sa house feel good (le 6 sur le toit), Anetha et sa techno acide qui claque (les 6 et 7 en nocturne), ou encore Bicep avec leur show "Chroma" (le 6 en nocturne). Ajoutez à ça des légendes comme Richie Hawtin (le 7 en nocturne), Busy P en B2B avec Chloé Caillet (le 7 sur le toit), et DJ Gigola qui clôturera en beauté "La finale" (le 8 sur le toit). Sans oublier de nombreuses performances artistiques, expositions, danse et shows drag qui viendront compléter l’expérience.
Toutes les infos et la billetterie sont à retrouver sur le-bon-air.com.
