Ce n’est pas « quelque soit » mais « quel(s) que soi(en)t » ou « quelle(s) que soi(en)t ».
On ne s’excuse jamais en écrivant « autant pour moi » mais « au temps pour moi ». Ben ué.
On ne part pas faire une « ballade » mais une « balade ». Avec deux « l », le mot ballade désigne une forme musicale. Lorsque le mot désigne une promenade, il ne s’écrit qu’avec un « l ».
« J’étais censé aller faire du sport » et pas « sensé ». Lorsqu’on peut remplacer « censé » par « supposé », le mot s’écrit avec un « c ». Lorsqu’il commence par un « s », « sensé » signifie quelque chose qui a du sens.
« Quelquefois » s’écrit de cette façon. En un mot. Ça fout un coup non ?
Non, ce bon vieux monsieur S n’a rien à faire avec « parmi » et « malgré », bien que ce soit assez moche…
Quand il dit que le verbe « appeler » est super ennuyeux à écrire. C’est bien simple, on ne peut pas l’écrire correctement du premier coup, jamais.
On ne dit pas "je me suis permise" mais « je me suis permis » (oui, même si on est une fille). Quand le verbe « permettre » est utilisé à la forme pronominale, il ne s’accorde pas sauf si le COD est placé avant le verbe, comme par exemple « la remarque qu’elle s’est permise était pertinente ».
Un peu de chiffres à présent : « cent » et « vingt » prennent un « s » seulement lorsqu’ils sont multipliés.
« Elle s'est lavée les mains » pour éviter d'attraper le covid. Eh bien, non en réalité pour bien faire « elle s'est lavé les mains ». Quand un COD suit un verbe pronominal, il ne faut pas accorder le participe passé.
« En termes de chiffre d'affaire », même s'il peut atteindre plusieurs milliers d'euros (hors période de pandémie mondiale), s'exprime toujours au singulier quand l'expresssion « en termes de », elle, s'écrit toujours au pluriel.
Voilà, on ne vous impose pas de « date butoir » (sans E) pour intégrer toutes ces règles mais c’est le bûcher pour le prochain qui fait ces fautes.