WeRECY, la première plateforme qui te récompense quand tu recycles

« Mon jean invendable sur VINTED… j’en fais quoi ? », « Mon téléphone des années pop… je le jette où? », « Ma combinaison en Néoprène toute craquelé… j’en fais quoi ? » Toutes ces questions ne resteront désormais plus sans réponses. Grâces à l’application WeRECY, nos vieilleries vont trouver une seconde vie !

Marseille comme ville pilote  

Le lancement de l’application se fera dans un premier temps sur Marseille. En effet, sur le territoire de Marseille Provence, on trie 3 fois moins qu’au niveau national… #shameonus

Un challenge parfait pour cette nouvelle application pleine de bonnes intentions écologique. C’est dont 50 boutiques de proximité sur Marseille qui sont partantes pour le lancement de WeRECY ! Une application novatrice qui cache une équipe « convaincu(e) que l’incitation financière et/ou émotionnelle sera plus rapide et performante qu’une politique punitive bien trop souvent employée. » .

Inciter les particuliers à recycler (mieux)  


La volonté de recycler est bien présente dans les consciences, il suffit juste de l’aiguiller un peu. Souvent on jette aux ordures nos vieux objets juste par manque d’informations sur les modalités de recyclages adaptées. Inciter les particuliers à déposer leurs objets recyclables dans les commerces de proximité en échange d’une récompense financière et/ou émotionnelle : c’est le triptyque gagnant.
« On récompense le consommateur, on fait connaître les boutiques de proximité engagées et on revalorise les déchets promis à l’enfouissement ! »

Quelques chiffres clés  

30 millions c’est le nombre de vieux téléphones qui dormait dans les tiroirs des Français.

15% c’est le maigre pourcentage des 25 millions de téléphone sur le marché qui sont ensuite recyclés.

0,1% c’est le pourcentage de textiles collectés en Europe retransformés en matières premières, contre 4 millions de tonnes jetés.

2600 c’est le nombre de kilos de vêtements qui sont brûlés ou enfouis chaque SECONDE dans le monde…

70% des déchets d’Équipements Électriques et Électroniques échappent toujours aux filières officielles. 

100% c’est le nombre de personne qui devrait réaliser l’importance du recyclage à la lecture de ces chiffres !

Avis à tous·tes les féru·es d’art contemporain : un shot vitaminé s’empare du Mucem pour les beaux jours, avec une nouvelle exposition qui met à l’honneur les œuvres de l’artiste et peintre originaire de Sète Hervé Di Rosa. Un parcours aussi coloré que poétique, qui nous fait voyager à travers une sélection de pièces de la collection du Mucem mêlées aux créations signées Di Rosa. À découvrir jusqu’au 1er septembre !

Un air de famille façon Hervé Di Rosa 

Artiste globetrotter et inventeur de l’art modeste, qui transcende les cultures, brasse les formes, mélange les codes artistiques, Hervé Di Rosa a su tout au long de sa vie d’artiste sublimer les couleurs et les matières, impactant ainsi la scène artistique contemporaine. Curieux de tout et porté par le vif désir de parcourir le monde, l’artiste façonne la matière et la couleur, toujours en collaboration avec des artisan·es locaux·les, et ce où qu’il soit. Une façon de voir l’art et l'artisanat qui l’a mené au début des années 2000 à créer dans sa ville natale le Miam, le Musée international des Arts Modestes. 

Hervé Di Rosa, mars 2025, Mucem © Julie Cohen / Mucem

Dans sa nouvelle exposition Hervé Di Rosa, Un air de famille, le Mucem invite donc l’artiste à choisir des pièces parmi les collections du lieu, pour créer autour d’elles une pièce complémentaire en écho. Au total, près de 190 pièces sont donc exposées au cœur d’une scénographie fluide et libre, avec 120 objets issus du Mucem et une soixantaine d’œuvres présentées par Hervé Di Rosa, aux côtés de nombreuses figurines de sa collection personnelle et des appelants de chasse en bois sculptés et peints par son père, Marius Di Rosa. 

190 œuvres en communion

Le parcours artistique se sépare en une quinzaine d’îlots, chacun livrant une histoire entière interprétable de 1 001 façons différentes. Parmi les installations, on retrouve notamment trois panneaux sculptés – réalisés sur les hauts-plateaux de l'Adamaoua, dans l’ouest du Cameroun – aux côtés d’un manège forain en forme de poisson ; une échelle faite de jougs de bœuf collectés dans les régions de France par les ethnographes du musée, jouant des coudes avec une vache en résine peinte par Hervé Di Rosa ; ou encore un long fusil de chasse de presque 4 mètres présenté dans un nuage d’oiseaux en bois sculpté. 

Hervé Di Rosa, mars 2025, Mucem © Julie Cohen / Mucem

Mais évidemment, ce n’est pas tout. Pour cette exposition exceptionnelle dans la cité phocéenne, Hervé Di Rosa a aussi réalisé des œuvres dépeignant Marseille et ses habitant·es, non sans rappeler les paysages familiers de Sète. Les Marseillais·es sont donc exposé·es dès l’entrée, en relief sur une grande sculpture en papier mâché de 7 mètres de haut, mais aussi au cœur du parcours sur une grande toile peinte et dans une série de plaques en métal découpé de 4 mètres sur 3, un hommage à Rudy Ricciotti, architecte du bâtiment J4 du Mucem. 

Vous l’aurez donc compris, entre œuvres monumentales, voyages poétiques et couleurs pop, cette exposition s’apprête à égayer le printemps et l’été marseillais comme il se doit !

Hervé Di Rosa, Un air de famille
Mucem 
1, esplanade J4 – Marseille 2e
Du 12 mars au 1er septembre 2025
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